Terminus, on descent

Alicia s'avançat dans le grand Hall, après fait un signe d'adieu à son frère, traînant une petite valise derrière elle. À voir la valise on aurait pus croire qu'elle ne partait que pour une semaine plutôt que pour plusieurs mois. Mais elle n'avait pas l'intention d'y rester. Donc elle marcha un moment et vit un fauteil elle alla s'y vautrée en ramenant ses pieds sur l'avant du siège, laissant deux traces de terres. Elle regarda le va et viens du pensionnat pendant un instant. Elle n'émit aucun commentaire ni aucun signe de vie. Elle n'avait absolument pas l'intention de commencer à chercher son chemin. Le directeur devait être au courant qu'elle était arrivé alors qu'il la trouve tout seul. Alicia se demanda alorss à quoi il pouvait ressembler et s'il serait asser... compétent pour la garder plus de deux semaines. Car à chacun des pensionnat qu'elle avait été elle n'était pas rester plus de 15 jours, et encore c'était rare.

[ça serait apprécier si c'était le directeur qui venait]

Bridget Lewis se tenait bien droite devant les grandes portes de bois du Pensionnat Mikuto, un air buté sur le visage. Elle n'avait jamais aimé l'école. Elle croyait bien y avoir échappé après deux ans. Mais ces imbéciles du foyer d'accueil l'avait expédiée ici par autobus sans autre forme de cérémonie. Elle ressera sa main sur la bretelle du sac à dos qui pendait à son épaule droite, souffla sur une mèche rebelle qui lui pendait sur le visage et poussa la porte qui s'ouvrit sur un hall gigantesque. Des adolescents de tous âges allaient et venaient un peu partout. Sur un fauteuil à sa droite, il y avait une fille qu'elle estima de son âge. Elle avait des longs cheveux noirs soigneusement peingés, des ongles parfaitement manucurés et... un air perdu. Bridget grimaça. Cette fille ne serait sûrement pas la première à qui elle parlerait. Elle s'avança encore un peu, espérant que quelqu'un l'aborde afin qu'elle puisse demander la direction à prendre pour rencontrer ce foutu directeur, s'écraser dans son lit et réfléchir à une façon de s'enfuir de cet enfer.

-Hé ho ! Ça vous gênerais de m'aider ?!cria-t-elle aux gens qui passaient.

Zak ce dirigeait vers son bureau. il passa par le hall, et iày jeta un coup d'oeil. il vit des jeune fille, qu'il n'avait jamais vu dans son pensionnat auparavant. il ce dirigea donc vers celles-ci.plus il avancait, plus il reconnaissait une des deux jeune fille...il ne l'avait pas vu très souvent, mais il reconnaicait sa nièce...il arriva a coté des deux jeune fille.

"euh...bonjour..."

il semblait beaucoup moin confiant qu'a son habitude. il semblait quelques peu stressé.

"vous, êtes nouvelles??"

Alicia ne fit aucun mouvement lorsqu'une jeune fille entra après elle. Ni lorsqu'elle cria à l'aide.

*Aucune fierté. Elle n'a qu'à attendre non de Dieu.*

Elle vit alors arrivé un homme qui lui disait vaguement quelque chose. Lorsqu'il fût asser proche Alicia reconnut son oncle, le frère de sa mère. Elle ne l'avait rencontré que 3 ou 4 fois, vue la différence d'âge avec la mère de la jeune fille, mais le reconnaissait tout de même. La jeune fille se cala un peu plus dans son fauteil et réfléchie à toute vitesse.

*Est-ce qu'il m'a vue? Est-ce que j'ai le temps de m'enfuir? Je suis sûre que monsieur mon père était au courant. Si tu pense que je vais être plus gentille parce que t'est mon oncle, tu te met le doigt dans l'oeil mon cher.*

Mais avant qu'elle est pus faire un autre mouvement pour s'enfuir, son oncle leur adressa la parole. Il leur demanda si elles étaient nouvelles. Alicia sentit sa haine pour tous les adultes se réveiller avec joie à cette pique. Il allait comprendre asser rapidement qu'elle ne lui ferait pas la vie douce.

"Nouvelle? Mais non voyons, ça fait des années qu'on est ici vous n'avez jamais remarquer? Vous ne devez pas être observateur."

Alicia avait dit tout ça comme à son abithude d'une voix neutre presque terne. Seul changement affecter a son style de parole, elle avait utiliser le vous. Normalement elle tutoyait tout le monde aadulte ou enfant, mais puisque c'était son oncle... Elle attendit donc de voir si sa remarque avait fait mouche et elle se réjouit de la face qu'afficha le jeune homme pendant un instant.

*Bon le v'la lui ! *

- Pas trop tôt ! cingla-t-elle en se raclant la gorge.

Mais le directeur semblait occupé à dévisager la nunuche assise dans le fauteuil à sa droite. Elle se mit à faire le singe afin d'attirer son attention mais rien n'y fit.

- Hého ! Tu me conduits à ma chambre que j'puisse me coucher, oui ou non ?

Le directeur se tourna vers elle, légèrement contrarié de son manque de politesse.

il sorti brusquement de ses pensés. il ce tourna vers Bridget, une jeune fille particulièrement impolie.

"vous devrai passé par mon bureau pour commencer, mademoiselle."

dit-il d'un ton sec.il ce tourna ensuite vers sa nièce.

"vous aussi mademoiselle Leopardi."

dit-il d'un ton aussi sec. il ne suportait pas de voir que sa nièce avait mal tourné.

"levé vous, et suivé moi, vous deux!"

il tourna la t^te légèrement la t^te de gauche a droite, puis commenca a avancé.la t^te ailleur. il ce dirigeait vers son bureau.