Moment de liberté

Benjamin avait fini sa journée de travail, quoi que celle-ci n'était jamais totalement terminée, et avait donc décidé de faire un peu de lavage. Il descendit donc les escaliers dans un de ses habits habituel avec en plus un panier de blanc, deux sacs; un de foncé et l'autre de noir, une caisse un peu étrange et deux bouteilles de liquide à lavage. Tout cela tenant dans un équilibre très précaire, il dut faire très attention en croisant les quelques personnes encore dans les escaliers. Le directeur-adjoint fini pourtant par arriver dans la buanderie où il laissa tout tombé à côté d'une machine à laver. L'équilibre se défaisant les deux bouteilles tombèrent da chaque côté du panier, les deux sacs glissèrent lentement vers le sol et la caisse... fut retenu par une main experte qui connaissait la valeur de l'objet qu'elle contenait. Benjamin sourit en la déposant sur la laveuse adjacente à la sienne. Il ouvrit trois laveuse et y déposa le contenu de chaque contenant. Il mit un peu de liquide dans la laveuse de blanc, la mit en marche et la regarda pendant un instant pour vérifier qu'elle ne se mette pas à fuire(dans le sens d'eau qui s'écoule et non de prendre ses jambes à son cou). Il fit de même pour le foncé et le noir. Lorsqu'il fut rassuré il reprit la caisse et l'ouvrit. Un sourire apparut sur son visage en même temps que ses yeux verts redécouvraient le violon coincé dans son étui. Il le prit délicatement, vérifia les cordes et s'installa sur une laveuse, dos à la porte. Il commença à jouer une mélodie un peu triste mais ennivrante qui se répendit dans les couloirs, sans qu'il ne s'en rende compte. Il se mit alors à chanter quelques mots qui lui vinrent par eux-même.

Douce princesse, intouchable majestée, je ne vous ai qu'entre-apperçue et pourtant vous êtes la reine de mes nuits.

Quelques mots de vos lèvres, m'étant destinés, seraient les plus beaux de joyaux.

N'ayez crainte, je ne saurai vous contraindre. Si ma présence n'est désirée alors laissez moi, de votre voix, de votre grâce, de votre beauté... rêver.

Benjamin se tut lorsqu'il se rendit compte que quelqu'un l'écoutait, il n'arrâta pourtant pas de jouer. Il voulait laisser le temps à une dernière larme de tomber. Il ne voulait pas se retourner, il ne désirait pas savoir qui l'avait écouté même s'il espérait secrètement que son message c'était rendue à la bonne personne.

[Privé pour Jenny:)]

C’est avec un grand sourire (fatigué certe, mais un sourire tout de même)qu'en cette fin de journée épuisante, Jenny sortait de son tout réscent lieu de travail. Elle décida d'aller manger quelque chose à la cafétéria avant de retourner chez elle.

* J’espère que la nourriture de la cafétéria est bonne parce que j’ai une faim de loup!*

C’est donc avec empressement qu’elle alla s’acheter un plat de spagetthi accompagné de fruit «frais». Elle ne se fit pas prier pour y goûter, mais ce qui devait arriver arriva! Sa maladresse refit surface et elle en échappa sur son tout nouveau chandail d’un blanc éclatant.

* Pourquoi c’est toujours à moi que cela arrive! Qu’est-ce que je vais faire maintenant? Je crois que j’aurais le temps de retourner chez moi me changer, mais de quoi j'aurais l'air avec cette énorme tache orange sur mon chandail blanc?? Alors plan B…..J’ai une camisole dans ma classe et je crois qu'il y a une buanderie ici ....*

Après maintes erreurs de parcours, elle réussit à aller chercher sa camisole et à trouver la buanderie. Jenny était à peine arrivée à la porte déjà ouverte qu’elle entendit une douce mélodie sortant de la pièce. Intriguée, elle s’approcha sans bruit du violoniste. Car oui elle avait deviné qu’il s’agissait d’un homme, pourquoi? Elle ne le savait pas plus que vous. Faisant un, deux, trois pas de plus, elle finit par entrevoir le mystérieux musicien. Jenny n’en cru pas ses yeux, c’était lui ! Cet homme qui l’avait si facilement attiré, avec qui elle se sent si bien, cet homme qui se tennait là maintenant dos à elle. Toute chamboulée, elle fit volte face et sortit de la pièce. Soudain, elle s’arrêta net, elle entendit Benjamin chanter.

Le cœur de Jenny n’avait jamais été aussi enflammé qu’en ce moment. Elle espérait secrètement que ces paroles lui étaient destinées. Elle prit donc son courage à deux mains entra de nouveau dans la buanderie. La professeure s’avança juste assez pour que Benjamin la voie. Ne s’étant toujours pas arrêter de jouer, elle l’écouta attentivement (du même coup elle grava dans sa mémoire lesdites paroles prononcées plus tôt).

[Est-ce c'est mieux comme ça? désolé j'avais complètement oublier qu'on ne s'était pas vu depuis longtemps]

Benjamin força un sourire à apparaître sur son visage avant de se tourner vers celle qui l'écoutait, attentivement semblait-il. Lorsqu'il vit le visage plein de bonté de Jenny, il fut légèrement surpris mais ne savait trop comment réagir. Devait-il prendre cela en farce, ou en profiter pour lui dire, ou faire comme si de rien n'était... Le directeur-adjoint ne savait absolument pas comment réagir, et le silence de Jenny ne l'aidait guère. Pourquoi ne disait-elle rien? Avait-elle devinée, espérait-elle que la chanson lui soit destinée? Benjamin sentait son cerveau tenter d'analyser la situation sans y arriver. Il voulut donc se lancer en laissant tout s'emboiter.

Un peu de rêve et de musique fait toujours du bien, vous ne trouvez pas, douce princesse?

Benjamin n'avait pas fait exprès d'utiliser le même terme que dans sa chanson mais maintenant il l'avait fait et ignorait si Jenny écoutait au début et si elle ferait le lien. Parce qu'il faut se l'avouer, Benji parle tellement toujours comme ça que Jenny pourrait ne rien remarquer et ça serait normal.

Benjamin n'attendit pas de réponse, se leva, prit Jenny par le taille, se pencha sur elle et murmura à son oreille qu'il l'aimait comme un fou depuis leur première rencontre, qu'il ne pouvait détacher ses pensée d'elle. Qu'il en perdait le sommeil et l'appétit, qu'il ne se voyait vivre le bonheur qu'avec elle...

Le directeur-adjoint secoua la tête et retrouva la vérité, il était toujours assit sur la laveuse et regardait Jenny en se trouvant bien stupide.

Comment se passe votre intégration dans notre noble établissement jolie demoiselle?

Il avait eu besoin de parler pour se changer les idées... Un léger soupir s'échappa de ses lèvres. Il aurait tellement voulut tout dire à Jenny, mais il avait si peur.

Lorsque leurs regards se croisèrent, elle y vit un brin de surprise.

*Était-il heureux de la voir? Aurait-il voulu être seul sans que personne ne le surprenne jouant de son violon? Pourquoi avait-il arrêté de chanter lorsqu’elle avait franchit la porte? Ces magnifiques paroles lui étaient-elles destinées? Pourquoi elle était incapable de s’avouer qu’elle aimait cet homme à en mourir? Pourquoi est-ce qu’elle doutait toujours d’elle dans ces cas-là? Pourquoi? Pourquoi?*

Toutes ces questions se bousculaient dans sa tête, sans qu’elle fût capable de trouver une réponse pour chacune d’elles. Il y eu un étrange silence qui suivit son arrivée. Trop occupée par ces questionnements, elle ne trouva rien à dire (contrairement à Benjamin).

* Douce princesse?*

Jenny n’en revenait tout simplement pas! Il avait de nouveau prononcé ces deux mots. Mais cette fois-ci, elle était certaine que c’était pour elle.

* A-t-il dit cela par pur hasard ou bien l’a-t-il dit en espérant qu’elle devine tout?*

La professeure voulu répondre quelque chose mais les mots restèrent pris dans sa gorge. Elle se trouvait bien stupide d’être planté-là au beau milieu de la buanderie avec un chandail taché de sauce à spaghetti et un sourire niais. Figée sur place, elle regardait Benjamin, comme hypnotisée, elle se rendit compte qu’il n’était pas vraiment là. Comme s’il était partit dans ces pensées, exactement comme elle lorsqu’elle tenait un pinceau.

Il fallut quelques secondes à Jenny pour trouver une réponse sensée à la question du directeur-adjoint.

'' J’ai été accueilli comme une vrai princesse…''

* Je n’ai pas vraiment dit cela! Calme-toi … Respire… et continue ta phrase*

'' Au début, je me suis perdu des dizaines de fois. Mais avec le temps, j’ai réussis à me situer sans trop de mal. La preuve j’ai trouvé la buanderie…''

* Au pire c’est que c’est même pas intéressant ce que tu lui dis là Jenny!!*

'' Ce que j’apprécie, c’est qu’il y a beaucoup de vie dans ce pensionnat. ''
Elle prit une petite pause puis continua mais cette fois-ci, elle le regardait intensément.

''Cependant, ce qui me fait souffrir depuis quelques temps….''

Jenny fit quelque pas vers Benjamin, déposant du même coup son chandail sur la laveuse à sa droite.

'' C’est de ne plus vous voir, d’être privé de la chaleur de vos sourires. Je crois que c’est vraiment ce qui me manque le plus depuis notre dernière rencontre….''

Elle avait fait le grand saut ou du moins, elle avait pris son élan. Elle décida d’aller jusqu’au bout.

'' Lorsque je suis entré dans la pièce et que je vous ai entendu chanter, j’ai secrètement espéré de tout mon cœur que ce que vous disiez était pour moi. Peut-être ai-je tord et que ce n’était pas du tout pour moi, que depuis la première fois où nos regards se sont croisé je me fais des illusions sur tout… J’espère sincèrement que non. Je n’ai pas l’habitude de faire ce que je fais présentement mais je n’en pouvais plus. ''

Benjamin voulut lui dire quelque chose, mais elle l’en empêcha.

'' Laissez-moi finir s’il vous plait. Si vous me dites que vous ne ressentez rien pour moi alors je vous laisserai tranquille mais de grâce laissez-moi finir. Depuis notre dernière rencontre, mes pensées n’ont été que pour vous… rien que vous…J’ai souvent voulu vous parler de se que je ressentais mais j’en étais incapable. Je ne comprends d’ailleurs pas pourquoi j’y arrive aujourd’hui…Voilà… j’ai terminé. C’est maintenant le temps de me dire que je suis bien gentille mais que vous ne ressentez rien pour moi…comme l’ont fait plusieurs avant vous….''

[C’est à toi et j’espère que tu es satisfaite du déblocage de mon post! Ne me déçois pas Benny! Je compte sur toi !]

Benjamin trouva que Jenny était assez perdu dans ses pensées, ou plutôt stressée. Il ne s'en inquiéta pas particulièrement, croyant que c'était du à son chandail blanc qui ne l'était plus vraiment. Lorsqu'elle lui répondit, Benjamin sourit, elle avait utilisé le terme que lui-même avait utilisé. Mais pourquoi? Était-ce seulement parce qu'il l'avait utilisé et qu'elle voulait faire de l'humour où y avait-il un message caché derrière ce mot si doux «princesse». Il ne pu lui demander puisqu'elle continua, elle s'était perdue souvent. Le sourire de Benjamin s'agrandit, il imaginait très bien Jenny un peu trop stressée qui ne savait plus où elle était et qui ne savait plus comment rebrousser chemin. Lorsqu'elle dit qu'elle connaissait maintenant assez le pensionnat pour trouver la buanderie le directeur-adjoint laissa glisser un mot entre ses lèvres.

Félicitation...

Il avait tellement peur de parler, de se mettre à parler pour vrai et de vider son cœur, de le mettre à découvert devant cette ravissante jeune femme qui lui plaisait tant. Il craignait tellement un refus, qu'il n'osait pas... pourtant il y avait plein de belles phrases qui tournaient dans sa tête.

*Jenny tu es la femme la plus splendide que je 'ai vu de toute ma vie, tu rayonne et me fait voir tout en bleu. Tu es tranquille, intelligente, généreuse, talentueuse et adorablement mignonne. Me donne tu la permission de te prendre dans mes bras? De te faire tourner? De danser avec toi?*

Oui, il y avait de belles phrases qui tournaient dans sa tête mais il n'osait rien dire de peur d'un refus. Puis Benjamin réalisa que le regard de Jenny avait changer, il était devenu plus intense, plus franc et plus sérieux en même temps. Qu'allait-elle lui dire? Ce qui me fait souffrir... Qu'est-ce qui la faisait souffrir? Que pouvait-il faire pour l'aider?

*Dis-moi le, je ferrai tout pour toi. J'irais à l'autre bout du monde pour aller chercher ta famille si c'est ce qui te manque. Je t'acheterai 20 chats si tu n'en veux que trois...*

Mais Jenny se mit plutôt à parler de lui, de ses sourires, de leur dernière rencontre. Benjamin eut un moment d'hésitation face a ses révélations, que voulait-elle dire exactement? Et puis elle se lança. Quoi? Elle se demandait si c'était vraiment pour elle qu'il avait chanté? Il ouvrit la bouche pour lui confirmer que c'était bien d'elle qu'il parlait mais elle l'arrêta. Elle voulait lui vider son cœur, elle avait la force de lui vider son cœur, elle elle était assez forte pour le faire. Benjamin se sentait faible, lâche et même minable. Il l’écouta tout le temps qu’elle parla. Il voulait lui crier de se taire, de ne pas continuer à dire qu’elle ne pouvait lui plaire, qu’elle n’était pas digne de lui. Il se retint puisqu’elle lui avait demandé. Mais dès qu’elle eut fini, dès qu’elle fut face à lui et qu’elle lui dit que c’était le moment de lui dire qu’ils ne sortiraient pas ensemble Benjamin se leva d’un bond (très gracieux), il prit sa tête entre ses mains, toucha son visage. Il glissa ses doigts sur cette beauté si pure et si douce. Il fixa son regard plein de vérités et d’espoir non dits. Il fixa son regard Vert, il fixa cette crainte dans le fond des yeux de cette douce beauté qui lui semblait tellement blessée. Cela ne dura surement pas plus de 10 secondes mais pour eux deux ce moment dura des heures, des jours, des années même. Pendant cet unique moment chacun raconta son amour sans rien dire. Et puis doucement, tendrement, Benjamin pencha la tête légèrement. Il gardait fixé son regard à cette mer de gentillesse mais se penchait vers ces lèvres qui n’attendaient qu’un simple mot. Lorsque leurs lèvres se touchèrent des milliers de mots explosèrent, ils disparurent dans leur inutilité. Ils s’unirent sans rien se dire. Puis ils se séparèrent tout en restant tout en fait ensemble. Il l’avait enlacé sans s’en rendre compte, elle était maintenant collée à lui. Il sourit, d’un sourire si tende qu’il n’était jamais apparu auparavant.

Je t’aime Jenny et je refuse que tu ne croies le contraire. Merveilleuse fée qui hante toutes mes pensées depuis que l’on s’est rencontré. Merveilleuse nymphe si pure qu’elle me gardait à distance sans le savoir. Inconnue si étrangère que j’avais l’impression de toujours l’avoir connue. Je t’aime Jenny et je vivre une histoire merveilleuse avec toi, si tu le veux bien.

Benjamin sourit de nouveau et regarda cette jeune femme qu’il désirait serrer dans sur son cœur pour le reste de sa vie. C’était à son tour de parler.

Le flot de paroles trop souvent refoulées, s’arrêta enfin de jaillir de sa douce bouche. En son fort intérieur, Jenny paniquait comme jamais. Elle se disait qu’elle n’aurait jamais du tout lui avouer et qu’elle aurait mieux fait de se taire au lieu de subir un autre échec. Le cœur de Jenny battait à tout rompre, elle paraissait un peu calme certes, mais elle était affolée comme jamais! Baissant la tête en ayant un faible espoir, que la réponse fasse moins mal des cette manière, que si elle l’avait regardé droit dans les yeux. Pourtant, il ne dit rien, il descendit de la sécheuse et il s’approcha d’elle lentement. Intriguée, elle leva lentement les yeux et aperçu ce dont elle rêvait depuis des semaines : ce regard. Celui qui veut tout dire, celui qui peut réconforter n’importe quel mal, celui qu’elle avait tant espéré. Cette union si intense qui se développait à mesure que les secondes s’écoulaient, était tout simplement incroyable. Jenny avait l’impression que Benjamin avait brisé les barrières qui l’empêchaient de s’ouvrir aux autres. Elle en était extrêmement soulagée et heureuse, tellement heureuse que des larmes glissèrent sur sa joue jusqu’à venir s’évanouir sur le sol. Le directeur-adjoint s’approcha d’elle et lui effleura la joue, puis déposa tendrement un doux baiser sur ses lèvres. Au contact féérique de sa peau, Jenny eu l’impression d’exploser! L’angoisse accumulée depuis des jours venait de disparaître subitement sans un mot, sans rien. Jenny aurait voulu que se moment ne se finisse plus jamais. Elle était si bien dans ses bras! Se remettant de ses émotions si soudaines, elle lui rendit son sourire. Elle se dit qu’elle devrait dorénavant tout faire pour admirer se magnifique sourire le plus souvent possible. Même si Jenny avait réalisé, non sans difficulté, qu’il partageait réellement des sentiments profonds pour elle, le fait qu’il lui dise d’une voix si chaleureusement l’étonnait encore. La manière qu’avait Benjamin d’exprimer son amour la fascinait, pour plusieurs raison. Elle trouvait que ces phrase étaient tout simplement magiques et elle n’en revenait pas qu’elle puisse sortir de sa bouche aussi naturellement. Elle aurait bien voulu parler de cette façon mais elle en était incapable. Elle se disait que s’il en était ainsi, ce devait être pour qu’elle en profite lorsqu’il lui en récitait. Elle l’écoutait parler, le sourire fendu jusqu’aux oreilles. Lorsqu’il eu terminé, elle ne fit que lui murmurer :

''Oui…sans hésiter…''

Elle ne savait pas quoi faire ni quoi ajouter, alors elle retourna se blottir contre lui.

[Désolé si ça pris du temps et que je n'ai pas vraiment fais avancer le post mais plustôt décrit ce qu'elle ressentait (si tu veux je peux toujours changer des trucs ou en ajouter d'autre). Bref j'ai enfin répondu et la comment sa marche pour freedom?]

Pour Freedom, on t'attends à la nouvelle adresse avec impatience, tu t'y inscrit le plus vite possible et le forum repart sur une base plus sérieuse. Tu as t'as présentation à faire, mais comme elle a recsemment été faite, tu peux faire un copier coller d'ici à la-bas. Voilà, je ne crois pas avoir rien n'oublié!

d'accord je vais faire sa le plus tôt possible!