Problème de concentration

Elle est belle
Elle est pure
Elle est légère
Elle est pure
Elle est douce
Elle est pure
Benjamin froissa le papier où il avait inscrit ces quelques mots et le jeta à la corbeille. Il y avait déjà de nombreuses boules de papiers froissé et cela exédait Benjamin. Il aurait tellement voulut écrire et bien que normalement il fut rapide sur les mots il n'arrivait pas à sortir un poême qui puisse le ststisfaire. Cela faisait bientôt une semaine qu'il avait rencontré Jenny Link la nouvelle professeure et depuis il avait tout fait pour la revoir, sans succès. Soit il était rapellé à son travail par Zak, travail qui n'avançait toujours pas, soit Jenny avait disparu de sa salle de classe. Benjamin avait donc tenté d'écrire un poême et bien qu'il fut d'un romantisme extrême aucun mot ne le satisfaisait pour décrire Jenny. Pourtant elle l'inspirait vraiment, il s'était réveillé plusieurs nuits en pensant a des poêmes mais le lendemain lorsqu'il se réveillait il avait l'impression de lire des poêmes de ses débuts. Il n'arrivait plus a se concentrer sur son travail tellement Jenny l'obsédait. Benjamin savait bien que Zak avait réalisé que quelque chose n'allait pas mais jusqu'ici ils n'avaient pas pus parler d'autres choses que du travail. Et puis Benjamin ne savait pas trop s'il devait vraiment parler de ses problèmes d'écriture à Zak, après tout c'était ça le problème non? Le fait que Benjamin n'était pas capable d'écrire comme il le voulait.
Il se retourna vers la fenêtre, tournant son fauteuil et réessaya de poser les mots sur Jenny.

Douce et fragile comme une rose. Aussi impossible à attraper que le brouillard. Aussi belle qu'un licorne légendaire. Insaisissable est ton défaut et ta qualité puisque ça te rend plus désirable.

Benjamin sourit en remarquant qu'il avait peut-être quelque chose. Il se retourna et attrapa un crayon au passage. Il allait aposer le premier mot lorsqu'il remarqua qu'il y avait quelqu'un dans son bureau. Benjamin rougit légèrement et leva le regard sur... Zak. Benjamin lui sourit gêné et lui montra la chaise devant son bureau pour lui signifier qu'il pouvait s'installer.

"Bonne journée noble directeur. Que puis-je pour vous être utile? Et heu... Il y a longtemps que vous attendez?"

Benjamin s'en voulait et ne comprenait pas sa réaction. C'était seulement étrange de savoir que Zak l'avait sans doute entendu parler et que la discussion allait se mettre en route pour se diriger sur la jeune femme en question.

Zak n’était pas là depuis longtemps, il l’aurait fait savoir, simplement par respect si Benjamin ne l’aurait pas remarqué. Non, ça faisait environ 3 minutes qu’il était là. Oui, ça peu paraître long dit comme ça, mais en fait, Zak l’avait entendu parler, et il ne voulait pas le déranger avant que ce qu’il avait en tête fut écrit sur du papier. Benjamin semblait être dans une séance d’écriture et l’inspiration semblait lui manquer un tout petit peu.

Il c’était lever de bonne heure, comme tout les matins, avait mangé à la salle des employés espérant en vain de voir Lydia, puis finalement c’était dirigé à son bureau. Il avait remplit quelques papiers, pour ensuite et finalement, aller voir ce que sont vieil ami faisait de bon. Ça devais faire une semaine qu’ils ne c’étaient pas parlé en dehors du sujet : « Travail »! En arrivant, il l’avait vu entrain d’écrire. Puis de jeter le papier directement dans le coin de sa poubelle. Puis, dire une phrase à haute voix. Il c’était fait tout petit pour ne pas le déranger, pour qu’il puisse aller au bout de son inspiration. Mais il l’avait vu.

Il c’était soudain sentit tout gêné. Pas Zak… Benjamin. Et Zak avait sourit. Il souriait et trouvait ça très drôle que son ami soit aussi timide tout à coup.

« Pas longtemps… Bonne journée à toi aussi! Que faisais-tu? »

Benjamin se rétablit légèrement et sourit à Zak. Il était rassuré. Il ne savait pas trop quoi dire pour justifier les paroles qu'il avait dit mais il répondit tout de même à son ami.

"Pour être franc je n'en sais pas grand chose. Je tentais d'attraper des mots pour les agencer mais apparament même après un semaine de cet exercise, il faut que j'en vienne à la dure réalité que je ne sais plus écrire."

Zak sembla vouloir répliquer et aussitôt Ben lui épargna des mots.

"Je suis sincère Zak, depuis une semaine je tente inlassablement d'écrire sur une jolie personne des plus inspirantes et je n'y arrive tous simplement pas. C'est comme si les mots me narguaient. Chaque fois que je crois avoir put attraper une rime qui lui ressemble un tout petit peu je me retrouve devant un poème sans âme. Je ne sais plus quoi faire pour écrire un poème qui lui rendra honneur. Mais je dois t'embêter avec mes problèmes. Raconte moi plutôt ce pour quoi tu es venue me voir."

Benjamin n'était pas du type à se plaindre sur son sort mais il était effectivement désespéré de ne pouvoir écrire sur Jenny. Surtout que c'était sans doute tout se qu'il pourrait faire puisque depuis le début de la semaine les signes semblaient lui dire qu'il n'avait pas à la revoir.

« Ne dit pas que tu est incapable d’écrire. C’est peut-être simplement que tu réfléchis trop. Tu essais tellement de faire que ton poème soit parfait, que tu oublie d’y mettre le plus important. Vide-toi le crâne, et ensuite écris. N’écris pas avec ta tête, mon vieux… C’est sur qu’avec ta tête se sera moins puissant qu’à l’habitude… »

Zak avait parlé automatiquement, ignorant ainsi la question de son ami. Il avait parlé sans réfléchir, et n’était même pas certain que ce qu’il avait dit avait du sens. Il sourit, espérant sincèrement que ce qu’il avait dit avait au moins un peu aidé, puis ensuite, prit place dans un des fauteuils face à Benjamin. Finalement, il répondit à la question que Benjamin avait posée.

« Moi?... J’étais simplement venu te dire bonjour. Puisque ça fait un bon bout de temps que je t’avais pas croisé dans les couloirs. »

[J'ai vraiment pu rien a dire, je m'excuse du post vraiment TROP petit...]

Benjamin sourit à la réponse de Zak, et oui c'était simple et pourtant si compliqué à faire. Benjamin n'écrivait d'ordinnaire que sur des «faits» ou alors sur une beauté pas la personne en tant que telle. C'était effectivement la première fois que son coeur était impliqué pour de vrai. D'habitude c'était une qualité ou un défaut qu'il remarquait, là c'était une grâce intense presque insoutenable qui envellopait Jenny. Ben sourit de nouveau lorsque Zak lui dit qu'il n'était venue que lui dire bonjour. Effectivement les deux amis, bien que travaillant dans le même immeuble, ne se croisaient guère. Le directeur-adjoint fronça les sourcils en se rapellant qu'il voulait demander quelque chose à son ami. Il chercha un instant, se rappella plusieurs moment où il s'était rapeller d'en parler et bientôt il réussit à se souvenir de ce qu'il l'avait étonné chez Zak dernièrement.

Puisque tu es là, profitons-en pour parler. J'ai remarqué dernièrement que tu étais pratiquement constament dans un état de fatigue mais en même temps tu semble bien plus épanouie qu'avant. Que se passe-t-il avec toi pour que cette fatigue ne te soit pas lourde à portée, qu'elle en semble même bénifique?

Benjamin croyait qu'il devait y avoir une femme sous cette attitude mais préfèrait que ce ne soit Zak qui lui en parle, s'il avait à lui en parler. Après tout ce n'était pas nécessairement de ces affaires.

« Je crois en fait que tu sais très bien ce qui se cache derrière cette fatigue.. enrichissante »

Il sourit. Il savait très bien que Benjamin se doutait de quelque chose. Il faut dire que Lui et Lydia n’étaient pas vraiment subtils. Les chemises fripés de matins par exemple, ou encore Lydia (ou Zak) qui colle sa jambe contre celle de Zak (ou Lydia) sous la table de la salle des employés. Ou bien les regards surtout pas discrets à travers n’importe quelle salle ou couloir de l’établissement… Mais bon. Même s’il savait que Benjamin savait, il voyait au regard que lui lançait son ami, qu’il devait lui parler de lui-même et que Benjamin ne poserait pas de question plus… précise.

« Cette fatigue cache la même chose que se poème impossible à écrire, Ben. »

Évidemment, il savait tout aussi bien que se poème cachait une future ou présente… ou peut-être passé, histoire d’amour entre Benjamin et une femme qu’il ne connaissait pas. Devant le regard insistant de Benjamin, Zak lâcha le prénom de cette femme, qui enrichissait sa vie, sa fatigue, ses nuits, ses matinées et même son sommeil.

« Lydia »

Benjamin ne s'attendait pas à ce que Zak sache que lui-même devinait ce qu'était la cause de son état et donc lorsque Zak affirma que Benjamin savait ce dernier ne put que venir à la conclusion qu'il ne pouvait rien cacher à cet ami qu'il avait connu bien tôt dans sa vie et qui l'avait toujours soutenue. Benjamin ne fut pourtant pas satisfait lorsque Zak ne fit que lui dire que c'était une femme qui était la cause de sa fatigue. Son regard dut parler pour lui puisque Zak lacha finalement le prénom de sa belle. Lydia

Cela prit un moment à Benjamin avant de comprendre que c'était la Lydia du pensionnat. Il voulut alors en avoir la confirmation.

Tu parle bien de la psychologue de l'établissement où nous occupons les fonctions de directeur et de son adjoint, c'est-à-dire de cet établissement?

Un sourire en coin s'étira sur le visage du directeur-adjoint.

Il faut comprendre que de travailler dans un établissement pour adolescents à problèmes rapprochent plus de gens que l'on peut le croire. Et pas nécessairement ceux que l'on croit.

Benjamin ne savait pas s'il avait été assez évasif pour que Zak ne comprenne pas mais il se doutait bien qu'il devinerait tout de même quelque chose.

[le sujet est repartit^.^]

Zak sourit en voyant que Benjamin prit de longues secondes avant de vraiment réagir à sa réplique, ma foi, percutante. Son sourire s’étira encore plus en entendant Ben lui demander exactement de quelle Lydia il parlait, lâcha presque un petit rire tellement l’’expression de Benjamin était drôle.

« Oui, je parle bien de Lydia Callaway. Ben, ne me dit pas que tu n’avais aucun doute, je ne croirai pas! Essais au moins d’être crédible! »

Zak se tut. Il entendit Benjamin dire quelque chose mais ne compris pas tout de suite. Pourtant, ça phrase semblait cacher un double sens que Zak n’arrivait pas à déchiffrer. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il resta en silence à réfléchir. Pratiquement une minute entière s’écoula avant que Zak ne reprit la parole. Il le fallait car le silence commençait à devenir un peu pesant. Comme n’importe quel silence qui s’allonge trop. Mais, lorsqu’il reprit la parole, il savait quoi dire et il avait comprit une petite partie du double sens de Ben…

« Dois-je comprendre que cette personne qui cause de trouble de la page blanche travaille ici, Benjamin? »

C’est étrange à quel point le language etles mots que Zak utilise en présence de Ben monte d’un niveau… Ce n’est qu’en passant… pour faire remarquer… En plus, Zak ne s’en rend même pas compte. Il parle beacuoup mieux en présence de son ami… Pourquoi? Mystère… Il faut croire que Ben à une bonne influence!

[DSL DU TEMPS QUE ÇA A PRIS...]

[ WOUAH tu me fais trop rire a chaque fois que je te lis.]

Benjamin ne répondit pas réellement lorsque Zak lui déclara qu'il ne croyait que son adjoint ne s'en doutait pas. Il eu plutôt un sourire enigmatique qui était un mélange de oui et de non. Parfois on ne veut tout simplement pas se mettre a invanter des histoires pour ne pas qu'elle ne se réalisent pas. Pourtant Benjamin savait au fond de lui que Zak entretenait quelque chose avec Lydia.

Puis s'installa un long moment où Zak sembla réfléchir à la révellation de Benji et celui-ci y prit un malin plaisir. Il n'avait pas vraiment envie de déclarer son amour pour Jenny alors que elle-même ignorait tout des sentiments qu'il éprouvait. Lui-même n'en était pas tellement sûr, puisqu'il n'avait jamais connu l'amour véritable. Lorsqu'enfin Zak comprit les double sens de la phrase dite par Benjamin celui-ci sentit le sang affluer à son visage et donc devina que ce dernier devenait un peu plus rouge. Il baissa le regard avant de sentir le sourire de Zak s'élargir. Il ne le voyait pas mais c'est le genre de sourire que l'on peut sentir. Il releva alors le regard et le planta dans celui de son ami. On pouvait y lire une certaine détresse.

Mais je ne l'ai rencontré qu'une seule fois.Il n'y a pas eu de papillons, pas de chanson, pas de... de... de trucs que l'on lie dans les romans. Comment est-ce que je peux savoir que c'est de l'amour? Je me rend compte que je suis l'un des hommes les plus romantiques du monde, peut-être, mais que finalement ce ne sont que des balivernes et je ne sais absolument rien sur les femmes.

Benjamin se passa un main sur le visage avant de refixer le directuer devant lui.

Aide moi à me comprendre. s'il te plait.

Il avait un peu peur de la réaction de Zak. Il serait totalement en droit de rire de lui en ce moment. Le culturé et aristocratique Benjamin Simard ne savait absolument rien de l'amour!

[POURQUOI TU RIS À CHAQUE FOIS QUE TU ME LIS??!!]

Benjamin marqua un silence, Zach lui, remarqua son sourire. Énigmatique certes, mais pas pour Zach. Il savait que Benjamin savait. Pendant un long moment, tout deux restèrent silencieux. Se jetant des regards de temps à autres, réfléchissant surtout, à ce qu’ils venaient de se révéler l’un à l’autre. Finalement, après que Zach ait parlé, Benjamin prit le temps de rougir un petit peu. Zach afficha un trèès grand sourire dans son visage, vous savez, le genre de sourire qu’on sent, même dans notre dos… Ben se retourna. Il planta son regard dans celui de Zach. Zach se sentit presque gêné de sentir cette détresse dans les yeux de son ami. Zach perdit même son sourire lorsque son ami se mit à Parler.

Wooh… Quoi?! Zach n’en revenait pas. Ce que Benjamin venait de lui lancer n’avait aucun sens. Lui, si romantique! Il avait l’air tellement perdu! Zach n’en revenait toujours pas…

Il se reprit (se reprit de sa perplexité) et replongea son regard dans celui de Ben. Okay, ce qu’il allait dire allait peut-être avoir l’air vraiment guimauve* mais rien ne sortirais d’ici! (pas vrai?)

« Hey, Ben! Voyons! Pourquoi tu t’affole autant?! Tu ne l’as vu qu’une fois c’est ça? Alors pourquoi tu t’en fais autant?... Tu sais quoi, je crois que je sais pourquoi, moi! C’est qu’elle t’a vraiment fait de l’effet! Et si elle t’a fait autant d’effet, c’est qu’il peu y avoir plus… »

Il c’était un peu penché vers l’avant en parlant… Pourquoi? Mystère! Tout compte fait, il était un peu avancé vers l’avant. C’était presque mignon comme tableau. Mais quand même, un homme a une virilité… un orgeuil!

« Bon! Et maintenant avant que je te prenne les mains et qu’on pleur ensemble, je vais aller me prendre un verre d’eau! »

[VOILA!!! GRR DSL DU RETARD, AVEC LE CÉGEP C’EST UN PEU DIFFICILE!]

Le directeur- adjoint du pensionnat Mikuto attendait impatiemment une réponse de son ami. Il avait vraiment besoin d'une aide extérieur pour se comprendre et cela le troublait. Lui qui se croyait si romantique, si intellectuel, si raffiné... il semblait que son monde s'écroulait. Et maintenant, que devait-il faire? Zak fini par répondre à Benji qui en resta stupéfait. Au moment même où Ben allait s'enflammer pour défendre sa cause en disant qu'il s'en faisait autant parce que Jenny était la femme la plus jolie qu'il n'est jamais rencontrée, qu'elle avait une grâce si naturelle et si douce qu'il ne pouvait se défaire de cette image, qu'elle rougissait d'une manière si mignonne. Juste au moment où Benjamin allait dire tout cela, Zak lui coupa l'herbe sous les pieds et lui fit réaliser que Jenny avait une importance capitale pour notre charmant directeur-adjoint. Celui-ci en resta encore estomaqué lorsque Zak déclara qu'il allait prendre un verre d'eau. Benjamin donnait un spectacle un peu pathétique de lui-même. Il fixait un point invisible devant lui, avait la bouche légèrement entrouverte et son cerveau roulait à cent milles a l'heure pour essayer de comprendre et d'analyser.

Ça voudrait dire que... Que Jenny... Que...

Un immense sourire étira les lèvres de Benjamin tandis que ses yeux verts s'illuminèrent d'espoir.

Je suis amoureux! Mais c'est certain. Et en plus je suis amoureux de la plus belle, de la plus gentille, de la plus intelligente, de la plus mignonne, de la plus.... tout. Zak, je suis amoureux pour la première fois de ma vie!

Benjamin avait envie de sauter partout, de crié, de chanter, de danser. Benjamin avait envie de profiter de son bonheur.

[Tu me fais rire parce que tu as le tour de trouver un punch a chaque fois que tu post]